Le hasard, la chance, après les trombes d'eau du week-end, les averses de grêle et de grésil, le tonnerre et les éclairs, une accalmie s'est dessinée pendant ces quelques heures. Les nuages, adoucis, sont remontés au ciel pour se dissoudre dans le bleu fragile et improbable.
La mer, agitée sur le bord, a quitté sa teinte de plomb liquide pour se marbrer de turquoise et d'azur.
Jean-Louis et moi avons marché autour du golf, sur l'allée bétonnée réservée aux petites voitures électriques. La traînée boueuse de l'Ouhabia pénétrait dans la mer sans s'y mélanger, nettement plus courte, cependant, que celle de l'Adour, qui s'étirait de Bayonne à Bidart, parallèlement à la côte.
Déjeuner face à la mer... et aux montagnes enneigées |
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Cathy et Jean-Louis
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29 novembre 2005
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